Publié le 20 Octobre 2010

 

   Après la découverte du gnomon et du cadran solaire, les élèves de CE1 se penchent sur de  nouveaux  outils  pour mesurer le temps .

   Il s'agit d'abord de la clepsydre ou horloge à eau .Les égyptiens et les grecs l'utilisaient pour mesurer des durées précises , plus ou moins longues .

     Elles avaient l'avantage sur le cadran solaire de pouvoir fonctionner la nuit comme le jour et par tous les temps .

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A l'aide de bouteilles en plastique percées (de trous plus ou moins gros)

les enfants ont , par petits groupes , réalisé différentes clepsydres .

Chacun avait son rôle : tenir la bouteille , tracer une graduation à chaque minute écoulée . Pour cela, d'autres devaient surveiller la trotteuse de

l'horloge de la classe .

 

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    Avec l'aide de la maîtresse , les enfants ont conclu que l'outil avait

des inconvénients : pour mesurer de longues durées, il fallait regarnir

régulièrement   la clepsydre et , en hiver ,  l'eau pouvait geler .

     C'est ainsi que sera inventé , vers le 10 ème siècle, le sablier .

   

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 Toujours avec des bouteilles plastiques, les CE1 se sont lancés dans la fabrication de  3 sabliers , étalonnés à 1 , 3 et 5 minutes . Nous les utiliserons à l'occasion , pour minuter des exercices en classe .

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Rédigé par Ecole Saint-Pierre Casseneuil

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Publié le 20 Octobre 2010

Rappel du dernier épisode : les élèves ont trouvé une autre mante-religieuse...

La question alors qui s’est posée c’est «  si on les mettait ensemble ? »

« Surtout pas !! » a répondu Killiane ,qui savait que le mâle mangeait parfois la femelle. Nous avons donc décidé de  laisser chaque mante-religieuse dans sa boîte avec de l’herbe.

 

Lundi 4 octobre, qui fit son apparition dans la classe ? Une nouvelle mante-religieuse que Killiane avait trouvée dans le week-end. Nous l’avons bien observée, et nous avons remarqué qu’elle était différente des deux autres : son ventre était moins gros et elle était plus petite en taille. Etait-ce un mâle, une femelle ? Nous ne savions pas !

 

Ca faisait beaucoup, 3 boîtes dans la classe... et puis il nous était impossible de pouvoir les observer en même temps. Alors, nous avons décidé de les mettre toutes les 3 ensemble :

« Tant pis s’il y a une mante religieuse qui se fait manger ! Au moins on saura alors si nos 3 locataires sont des mâles ou des femelles. Et puis on pourra en trouver d’autres ! »

Le lendemain, la maîtresse a amené un bocal en verre de forme rectangulaire et nous avons placé les 3 mantes-religieuses à l’intérieur.

Et alors, place à l’observation !P1000848.JPG

Dans l’après-midi, quelques enfants ont crié :

 «  maîtresse, il y en a une qui a disparu mais il y  a encore ses ailes !».

  D’autres ont répondu : «  la plus petite des trois s’est faite manger par les deux autres alors c’était un mâle » «  Donc le mâle est plus petit que la femelle »

La maîtresse  a alors interpellé les enfants : «  mais peut-être aussi que si elles ont mangé la plus petite, c’est qu’elles avaient faim ! »

«  Il faut leur donner à manger alors. Mais que mangent les mantes-religieuses ? »

«  De l’herbe maîtresse ! »

«  Mais pourquoi alors l’herbe qui était dans le bocal au départ n’a pas disparu ? »

«  Peut-être alors qu’elles ne mangent pas d’herbe… »

Nous avons donc décidé de rapporter de la nourriture de la cantine : du saucisson, du pain, une pomme et de la salade. Et puis, place à l’observation pour voir si des aliments étaient mangés. La maîtresse a fabriqué un tableau pour noter les résultats.

«  On pourrait aussi regarder sur Internet maîtresse » a rajouté Andréa

 

Le groupe rouge est alors allé interroger Internet pendant la récréation. Les élèves ont trouvé des photos et des articles qui parlaient de la nourriture des mantes- religieuses.

De retour en groupe, nous avons découvert dans l’article que les mantes-religieuses étaient insectivores  c'est-à-dire qu’elles mangent des insectes et des insectes vivants !

Alors, il nous fallait trouver d’urgence des insectes vivants. C’est donc dans la cour, à l’annexe et dans la rue près du portail des maternelles que nous nous sommes rendus pour trouver cela !

20 minutes plus tard, il y a avait dans la boîte : 3 araignées, une punaise, des fourmis, des fourmis volantes, une sauterelle.

Nous avons donc mis tous ces insectes dans la boîte.

Le lendemain, dans le rang de l’annexe, plusieurs élèves avaient sous le bras une boîte pleine d’insectes, destinés à la nourriture de nos mantes-religieuses. Il y avait : des sauterelles, un gendarme, des cousins, une punaise, des araignées.

Nous avons déposé les insectes trouvés dans la cage transparente. P1000842.JPG

 à suivre...

 

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Rédigé par Ecole Saint-Pierre Casseneuil

Publié dans #Maternelle

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